Que sont-ils devenus ? (Mégane)

Publié le par Nadine Averink

 

MAMAA 2013-14 à l’Institut Sainte-Geneviève

BTS Design de produit 2014-2016 à l’Institut Sainte-Geneviève

DMA Métal 2016-2018 Ensaama, Oli­vier de Serres

Cette école d’Arts Appliqués for­me des créa­teurs concepteurs en DNMADE ou en DSAA  aptes à inter­ve­nir dans les mul­tiples domaines du design et des métiers d’arts : le gra­phisme et les tech­niques numé­riques, la concep­tion de pro­duits, le design d’espace, la com­mu­ni­ca­tion de marques, l’innovation tex­tile, l’art céra­mique, les maté­riaux de syn­thèse, le vitrail, le métal, la laque, la fresque/​mosaïque.
Son ensei­gne­ment allie la culture artis­tique et la culture pro­fes­sion­nelle, en pri­vi­lé­giant la créa­ti­vité et la maî­trise des tech­niques.


DMA Métal :

Objec­tifs

Les études condui­sant au Diplôme des Métiers des Arts du Décor Archi­tec­tu­ral du domaine de métal ont pour but de former des concep­teurs-réa­li­sa­teurs de niveau III inter­ve­nant dans les sec­teurs d’application sui­vants :

archi­tec­ture et son envi­ron­ne­ment,

équi­pe­ment et décor de la maison,

au titre :

d’artisan-créateur capable de pré­voir, conce­voir, mettre au point, réa­li­ser, pro­mou­voir et com­mer­cia­li­ser ses créa­tions dans les spé­cia­li­tés de l’orfèvrerie de la sculp­ture et du pro­to­type indus­triel,

de concep­teur-réa­li­sa­teur capable de tra­vailler en col­la­bo­ra­tion avec dif­fé­rentes entre­prises indus­trielles et arti­sa­nales en vue d’adapter sa créa­tion et ses recherches à la demande par­ti­cu­lière des entre­prises et appor­ter les modi­fi­ca­tions néces­saires à la réa­li­sa­tion du pro­duit.

Ensei­gne­ments

L’objectif de cette for­ma­tion conduit à deux registres de com­pé­tence, dis­tincts bien qu’inter- actifs.

Pre­miè­re­ment, la maî­trise de la concep­tion ou créa­tion par l’assimilation du dessin, du mode­lage, des méthodes conven­tion­nelles de repré­sen­ta­tion :

par le déve­lop­pe­ment de l’esprit d’analyse et de recherche,
par l’utilisation idéale des contraintes plas­tiques favo­ri­sant la ges­ta­tion et l’éclosion des idées nou­velles.
Deuxiè­me­ment, la pra­tique et la connais­sance des tech­niques de réa­li­sa­tion dans la spé­cia­lité du métal :

connais­sance des maté­riaux, de leurs pro­prié­tés phy­siques et chi­miques, appren­tis­sage des tech­niques de mise en œuvre arti­sa­nales ou indus­trielles.

mise en pra­tique en ate­lier par des recherches, études de pro­to­types, d’objets ou de sculp­tures en métal.

À partir d’une pro­po­si­tion abs­traite, d’une idée de com­po­si­tion pour un objet ou d’organisation pour un espace, l’étudiant devra choi­sir les méthodes de mise en œuvre oppor­tunes. C’est-à-dire réunir les condi­tions opti­males, tech­niques, plas­tiques et bud­gé­taires per­met­tant la mise en valeur de cette idée.

Pour­suite d’étude

DSAA Métiers d’arts

Inser­tion pro­fes­sion­nelle

Cette pra­tique de l’interaction, propre au concep­teur-réa­li­sa­teur peut le conduire pro­fes­sion­nel­le­ment :

sur le marché des arti­sans créa­teurs par la mise au point d’une gamme d’objets en orfè­vre­rie, bijou­te­rie, sculp­ture appli­quée dont la spé­ci­fi­cité concep­tuelle, esthé­tique et tech­nique sera l’image de l’artisan ou de l’entreprise arti­sa­nale ;

elle peut aussi l’orienter vers une pro­duc­tion plus diver­si­fiée où ses capa­ci­tés d’adaptation à des contraintes ponc­tuelles, tech­niques, géo­gra­phiques et dimen­sion­nelles seront mises à l’épreuve.

Il pourra être appelé alors à col­la­bo­rer avec les entre­prises, agences ou bureaux d’études qui l’auront com­man­dité en tant que créa­teur dans cette spé­cia­lité.

Mégane
Juin 2019

Publié dans Après le bac

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