Les Arts Plastiques s'exposent - Galerie Michel Journiac

Publié le par Nadine Averink

Exposition « Les Arts Plastiques s’exposent » à la galerie Michel Journiac du 1er au 16 juin 2022

Les élèves de l’enseignement de spécialité arts plastiques ont participé à cet évènement. Les photographies ont été prises lors du vernissage le Mardi 31 Mai 2022 tout comme la vidéo réalisée par Adélaïde Pralon enseignante au lycée Colbert.

réal. Adelaïde Pralon

Les 10 élèves ont présenté une production photographique et un enregistrement sonore sous forme de QR Code pour expliquer leur travail. Hector Fergon a conçu le dépliant de présentation.

Liste des participants :

ANGELOGLOU Carmen, CISNEROS RODRIGUEZ Gabriel, DURIF Louise, FERGON Hector, GITLIS Emma, GRIESSINGER Marie-Amélie, LOUET Andréa, MAROT Constance, MASSE Victoria, POUJARDIEU Marilou

Projet présenté :

Une série de 10 photographies format 20 x 30 cm avec cadre noir (21 x 30 cm).

Le titre de la série présentée pour la galerie Michel Journiac est une référence directe au propos d’Étienne Hatt sur le travail de Sylvie Bonnot.

Titre de cette série : « La peau du Monde » en lien avec la visite de l’exposition à la Galerie Ségolène Brossette intitulée Baikonour Tour / Vol.1 durant laquelle les élèves ont pu découvrir les œuvres de la photographe et plasticienne, Sylvie Bonnot.

Ségolène Brossette a pu nous expliquer comment Sylvie Bonnot interroge les limites, le hors-cadre, la matérialité de l’image au travers d’un échange de questions-réponses avec les élèves.  Ces derniers ont été fascinés autant par les sujets représentés que par l’aspect des images lorsque l’artiste travaille sur la surface de celles-ci au cutter des lignes pour obtenir des tracés presque topographiques. Mais surtout lorsqu’elle transpose la gélatine argentique, cette « mue », matière ultra fine sur d’autres supports. L’incision et la desquamation (élimination des couches superficielles de l’épiderme, sous forme de petites lamelles, avec Sylvie Bonnot il s’agit de la surface du tirage) transfigure l’image lui donne de nouvelles aspérités.

Ainsi, à travers ses paysages photographiques, c’est « la peau du monde » que nous donne à voir cette plasticienne voyageuse comme le souligne Étienne Hatt, critique d’art et rédacteur en chef adjoint de la revue Artpress.

 

 

 

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